EXAGERE RIVISTA - Ottobre - Novembre - Dicembre 2024, n. 10-11-12 anno IX - ISSN 2531-7334

Il leone nell’armadio

De l’interprétation des rêves à l’interprétation des œuvres surréalistes

par Pascal Neveu

(FRA/ITA traduzione in fondo)

Nombre de personnes et de psys ne cessent d’interpréter les œuvres artistiques, les tableaux, les sculptures, la littérature, le cinéma, l’opera…

Un des courants de prédilection d’interprétation est le surréalisme. Peu surprenant car le monde surréaliste et la psychanalyse sont des « parents » proches.

Cependant pourquoi cette obsession à vouloir interpréter, publier, organiser des conférences sans même avoir rencontré l’artiste et connaître la genèse de ces œuvres ?

Le surréalisme et la psychanalyse sont les deux mouvements de pensée qui ont dominé la première moitié du XXème siècle dont la seconde partie reste tributaire. Pour Sigmund Freud et Alain Breton, la tâche la plus importante fut de libérer l’inconscient de ses entraves individuelles et conventionnelles. Mais si l’un et l’autre utilisèrent l’automatisme psychique et le rêve comme voies d’accès à l’inconscient, leur méthode et leur but furent diamétralement opposés. Là où Freud, par le biais d’une méthode scientifique, veut libérer les pulsions en les rendant conscientes afin de mieux les intégrer voire les maîtriser, Breton, par la voie d’une formulation poétique et picturale, vise à la suprématie et au triomphe absolu de la vie pulsionnelle. L’Art comme outil, voire comme arme, afin que le principe de plaisir triomphe sur le principe de réalité.

Qui n’a jamais été interpellé par les œuvres de Chirico, Ernst, Mirò, Magritte, Brauner, Dali, Man Ray… qui en restent les principaux représentants ? Nous invitant à vouloir analyser et interpréter leurs oeuvres.

Dans la tradition picturale, les surréalistes s’inspirent notamment de Jérôme Bosch, de Gustabe Moreau, d’Odilon Redon, mais aussi le cubisme et Picasso.

Car ces artistes sont dans la recherche d’une réalité invisible et mystérieuse. Les artistes avaient d’ailleurs hésité pour le terme « surnaturaliste » !

Leurs œuvres surréalistes se composent généralement d’éléments inattendus, qui n’ont pas forcément de lien les uns avec les autres. Les artistes déforment les objets pour créer de nouvelles approches grâce au hasard. Ils utilisent différentes techniques comme le dessin automatique, le collage, le frottage… Les thèmes, que l’on retrouve souvent sont : le rêve, l’imagination, les phénomènes extraordinaires… Afin que réalité et imaginaire se confondent.

En 1924, dans le premier « Manifeste du surréalisme », André Breton définit ce courant comme un « automatisme psychique pur, par lequel on se propose d’exprimer, soit verbalement, soit par écrit, soit de toute autre manière, le fonctionnement réel de la pensée. Dictée de la pensée, en l’absence de tout contrôle exercé par la raison, en dehors de toute préoccupation esthétique ou morale…».

Breton s’est passionné pour les idées de Freud qu’il a découvertes dès 1916. Il en a retiré la conviction du lien profond unissant le monde réel et le monde sensible des rêves, et d’une forme de continuité entre l’état de veille et l’état de sommeil. Il lui rend d’ailleurs visite, à Vienne, en 1921. Ses lectures et cette rencontre auront une influence déterminante dans la naissance du mouvement surréaliste. La pratique de l’écriture automatique, le recours aux récits oniriques et la libre association des images qu’elle autorise en témoignent.

Pourtant, le regard que porte Freud sur le surréalisme le questionne.

Il écrit dans « Cinq leçons sur la psychanalyse » (1909) : « L’homme énergique et qui réussit, c’est celui qui parvient à transmuer en réalités les fantaisies du désir. Quand cette transmutation échoue par la faute des circonstances extérieures et de la faiblesse de l’individu, celui-ci se détourne du réel : il se retire dans l’univers plus heureux de son rêve. En cas de maladie, il en transforme le contenu en symptômes. Dans certaines conditions favorables, il peut encore trouver un autre moyen de passer de ses fantaisies à la réalité (…). S’il possède le don artistique, psychologiquement si mystérieux, il peut, au lieu de symptômes, transformer ses rêves en créations artistiques. Ainsi échappe-t-il au destin de la névrose et trouve-t-il par ce détour un rapport avec la réalité. »

Même si Freud et Breton correspondent énormément dans les années 20, Freud écrit à Stefan Zweig, qui souhaite lui présenter Salvador Dalí, en août 1938, qu’il tient les surréalistes pour « des fous à cent pour cent (disons plutôt, comme pour l’alcool, à quatre-vingt-quinze pour cent) », même s’il confesse que sa rencontre avec Dalí l’a « incité à reconsidérer son opinion ».

Certes, le surréalisme est contemporain de l’introduction de la psychanalyse en France, laquelle se heurte, dans un climat germanophobe, à de fortes résistances du milieu médical, psychiatrique et universitaire. En soulignant le rôle et l’importance des découvertes de Freud dans la naissance du mouvement et en s’y référant ensuite comme à une sorte de caution scientifique, Breton et les surréalistes ont contribué à leur manière à la diffusion de la psychanalyse.

On rencontre les artistes, parfois ils entrent en analyse, le psychisme s’agite face aux œuvres… Le monde artistique et le monde psy sont en pleins échanges et une effervescence sur le plan créatif et interprétatif.

Le lien entre la névrose et l’art est expérimenté par André Breton tout comme avec les dadaïstes qui invoquaient « Mage Freudanalyticus ». D’ailleurs, dans le manifeste « Pour Dada », Breton se défendra de l’accusation de maladie psychique que l’opinion publique de l’époque accole aux surréalistes, comme elle l’a fait auparavant aux dadaïstes.

Les théories psychanalytiques décrivent toutes les phases du travail du créateur, des phases avec un processus de transformation. Brièvement comme le décrit Michel de M’Uzan en 1977 dans « Aperçus sur le processus de création » : « un moment de saisissement ou d’inspiration qui est un moment de désorganisation pour le sujet qui lui permet la prise de conscience d’un représentant psychique inconscient, qu’il érigera en code organisateur de l’œuvre et choisira un matériau apte à doter ce code d’un corps, puis composera l’œuvre dans ses détails, la produira au dehors. Autrement dit, le créateur va se saisir du langage dans les rapports personnels et intimes qu’il a avec celui-ci et engager son travail… »

« Une sorte de chaos qui peut devenir création du moment qu’il peut être traduit en représentations, fantasmes, même les plus effrayants, les plus terrifiants et archaïques. Ceux-ci constituent un début d’aménagement-réaménagement. Le travail de l’écriture automatique va favoriser la stase de ces matériaux, qui vont se mettre en mots. Le principe de l’écriture automatique, qui a été expérimenté se conserve avec les expériences d’hypnose, travail sur les rêves, a permis une porosité des frontières du soi, donné accès à des réalités psychiques où moi et non-moi ont droit de cité. Ce travail engage à prendre, comme dans toute création de se risquer dans un processus en tout ou rien, propre à la part psychotique de toute personne. Les représentants psychiques inconscients mobilisés vont être déplacés par un changement topique dans le Préconscient. Une représentation refoulée dans l’Inconscient est une représentation de choses, elle fait retour dans le Préconscient, s’y lie à d’autres représentations de choses et à des représentations de mots. Le créateur travaille comme le rêveur, il opère un travail de symbolisation. »

J’avais assisté, il y a une vingtaine d’années, à l’Ecole des Beaux-Arts de Paris, à un cours de Christian Gaillard, psychanalyste jungien. Une première partie comportant un cours de psychanalyse, et ensuite la présentation d’une œuvre d’un des étudiants. Les étudiants livraient leurs interprétations, puis le jeune artiste apportait sa propre lecture de sa création, du message éventuel. Expérience intéressante et enrichissante, tellement les interprétations diverses se révélaient très éloignées de la vision de l’artiste, du contexte de créativité, de sa propre névrose.

Interpréter une œuvre d’art surréaliste sans connaître ces différents paramètres c’est comme se livrer à un test projectif (Rorschach,  Thematic Apperception Test…). Notre propre inconscient se promène alors dans un labyrinthe d’analyses sauvages.

Cela a permis à de nombreux artistes d’être connus mondialement, « côtés », exposés dans les plus grands musées… sans oublier leurs fonds de commerce.

Car ce qui nous échappe, ce que nous ne comprenons, ce qui est mystérieux, ce qui est caché nous attire.

C’est une énigme, où nous nous vivons comme un détective, un enquêteur de ce que l’artiste a voulu communiquer, et découvrir un éventuel message à décoder.

Les psy sont les premiers à se fourvoyer dans des interprétations totalement erronées. Parfois d’ailleurs pour théoriser.

Par exemple Jacques Lacan qui, dans son Séminaire IX sur « L’identification », fait allusion au film « Le chien andalou » de Dali et de Buñuel, « ce qui est un de ces petits faits qui me font quelquefois me faire à moi-même refléter ma propre image comme celle de ce personnage d’un film surréaliste bien connu qui s’appelle le Chien andalou, image qui est celle d’un homme, qui à l’aide de deux cordes, hèle derrière lui un piano sur lequel reposent (sans allusion) deux ânes morts… ». So What ?

En France, un énorme débat a eu lieu concernant l’affiche officielle des Jeux Olympiques.

Pour certains, une œuvre surréaliste, très interprétative à travers tous ses détails. Pour d’autres, une œuvre pas suffisamment naturelle et réaliste

En conclusion, l’art est depuis longtemps un moyen d’exprimer les sentiments, les idées et les expériences de l’homme. Parmi les différents mouvements artistiques qui ont vu le jour au cours de l’histoire, le surréalisme se distingue par sa fascinante exploration du subconscient. Le surréalisme a cherché à exploiter les profondeurs cachées de la psyché humaine et à remettre en question les notions conventionnelles de la réalité. 

André Breton : « L’idée de surréalisme tend simplement à la récupération totale de notre force psychique. »

Salvador Dali : « Le surréalisme c’est moi ! »

Frida Kahlo : « Le surréalisme est la surprise magique de trouver un lion dans un placard, là où on était sûr de trouver des chemises. »


Dall’interpretazione dei sogni all’interpretazione delle opere surrealiste

di Pascal Neveu

Molte persone e psicologi continuano a interpretare opere artistiche, dipinti, sculture, letteratura, cinema, opera…

Una delle tendenze interpretative preferite è il surrealismo. Non sorprende perché il mondo surrealista e la psicoanalisi sono “parenti” stretti.

Ma perché questa ossessione di voler interpretare, pubblicare, organizzare conferenze senza nemmeno aver incontrato l’artista e conoscere la genesi di queste opere?

Surrealismo e psicoanalisi sono i due movimenti di pensiero che hanno dominato la prima metà del XX secolo da cui dipendente la seconda parte. Per Sigmund Freud e Alain Breton il compito più importante era liberare l’inconscio dai suoi vincoli individuali e convenzionali. Ma se entrambi utilizzavano l’automatismo psichico e i sogni come vie verso l’inconscio, il loro metodo e il loro obiettivo erano diametralmente opposti. Laddove Freud, attraverso un metodo scientifico, vuole liberare gli impulsi rendendoli coscienti per meglio integrarli o addirittura controllarli, Breton, attraverso una formulazione poetica e pittorica, mira alla supremazia e al trionfo assoluto della vita pulsionale. L’arte come strumento, anzi come arma, affinché il principio del piacere trionfi sul principio della realtà.

Chi non è mai stato incuriosito dalle opere di Chirico, Ernst, Mirò, Magritte, Brauner, Dalì, Man Ray… che restano i loro principali rappresentanti? Essi ci Invitano a analizzare e interpretare le loro opere.

Nella tradizione pittorica, i surrealisti si ispirarono in particolare a Hieronymus Bosch, Gustabe Moreau, Odilon Redon, ma anche al cubismo e a Picasso.

Questi artisti sono alla ricerca di una realtà invisibile e misteriosa.

Le loro opere surrealiste sono generalmente costituite da elementi inaspettati, che non hanno necessariamente una connessione tra loro. Gli artisti distorcono gli oggetti per creare nuovi approcci mediante il caso. Utilizzano diverse tecniche come il disegno automatico, il collage, il frottage… I temi che troviamo spesso sono: sogni, immaginazione, fenomeni straordinari… In modo che realtà e immaginazione si fondano.

Nel 1924, nel primo “Manifesto del Surrealismo”, André Breton definì questa corrente come un “puro automatismo psichico, mediante il quale ci proponiamo di esprimere, verbalmente, per iscritto, o in qualsiasi altro modo, il funzionamento reale del pensiero. Dettatura del pensiero, in assenza di ogni controllo esercitato dalla ragione, al di fuori di ogni preoccupazione estetica o morale…”.

Breton si appassionò alle idee di Freud, che scoprì nel 1916. Da esse si convinse del profondo legame che unisce il mondo reale e il mondo sensibile dei sogni, e di una forma di continuità tra lo stato di veglia e lo stato di sonno. Lo incontrò a a Vienna nel 1921. Le sue letture e questo incontro avranno un’influenza determinante nella nascita del movimento surrealista. Lo testimoniano la pratica della scrittura automatica, l’utilizzo di racconti onirici e la libera associazione di immagini che essa consente.

Scriveva in “Cinque lezioni sulla psicoanalisi” (1909): “L’uomo energico e di successo è colui che riesce a trasmutare le fantasie del desiderio in realtà. Quando questa trasmutazione fallisce a causa di circostanze esterne e di debolezza dell’individuo, egli si allontana dalla realtà: si ritira nell’universo più felice del suo sogno. In caso di malattia trasforma il suo contenuto in sintomi. In determinate condizioni favorevoli, può ancora trovare un altro modo per passare dalle sue fantasie alla realtà (…). Se possiede il dono artistico, psicologicamente così misterioso, può, invece dei sintomi, trasformare i suoi sogni in creazioni artistiche. Sfugge così al destino della nevrosi e ritrova attraverso questa deviazione un rapporto con la realtà. »

Anche se Freud e Breton corrispondevano enormemente negli anni ’20, Freud scrisse a Stefan Zweig, che voleva presentarlo a Salvador Dalí, nell’agosto del 1938, che considerava i surrealisti “pazzi al cento per cento (diciamo piuttosto, per quanto riguarda ” alcol, novantacinque per cento)”, anche se confessa che l’incontro con Dalí “lo ha incoraggiato a riconsiderare la sua opinione”.

Certamente il surrealismo è contemporaneo all’introduzione della psicoanalisi in Francia, che incontrò, in un clima germanofobico, forti resistenze da parte degli ambienti medici, psichiatrici e accademici. Sottolineando il ruolo e l’importanza delle scoperte di Freud nella nascita del movimento e facendone poi riferimento a una sorta di avallo scientifico, Breton e i surrealisti contribuirono a loro modo alla diffusione della psicoanalisi.

Incontriamo gli artisti, a volte entrano in analisi, la psiche è agitata dalle opere… Il mondo artistico e il mondo psicologico sono in pieno scambio ed effervescenza sul piano creativo e interpretativo.

Il legame tra nevrosi e arte è vissuto da André Breton così come dai dadaisti che invocavano il “Mage Freudanalyticus”. Inoltre, nel manifesto “Per Dada”, Breton si difese dall’accusa di malattia psicologica che l’opinione pubblica dell’epoca attribuiva ai surrealisti, come aveva fatto in precedenza ai dadaisti.

Le teorie psicoanalitiche descrivono tutte le fasi del lavoro del creatore, fasi con un processo di trasformazione. Brevemente come descritto da Michel de M’Uzan nel 1977 in “Panorami del processo creativo”: “un momento di stupore o di ispirazione che è un momento di disorganizzazione per il soggetto che gli permette la consapevolezza di uno psichico inconscio rappresentativo, che egli stabilirà come codice organizzatore dell’opera e sceglierà un materiale capace di dare corpo a questo codice, poi comporrà l’opera nei suoi dettagli, producendola esternamente. In altre parole, il creatore coglierà il linguaggio nelle relazioni personali e intime che ha con esso e si impegnerà nella sua opera…”

“Una sorta di caos che può diventare creazione purché possa tradursi in rappresentazioni, fantasie, anche quelle più spaventose, terrificanti e arcaiche. Il lavoro di scrittura automatica favorirà la stasi di questi materiali, che verranno tradotti in parole. Il principio della scrittura automatica, sperimentato e preservato con esperimenti di ipnosi, il lavoro sui sogni, ha consentito una porosità dei confini del sé, ha dato accesso a realtà psichiche dove l’io e il non-io hanno diritto di essere citati. Questo lavoro implica, come in ogni creazione, rischiare se stessi in un processo tutto o niente, specifico della parte psicotica di ogni persona. I rappresentanti psichici inconsci mobilitati verranno spostati da un cambiamento topico nel Preconscio. Una rappresentazione rimossa nell’Inconscio è una rappresentazione di cose; ritorna al Preconscio e lì si collega ad altre rappresentazioni di cose e a rappresentazioni di parole. Il creatore lavora come il sognatore, realizza un lavoro di simbolizzazione. »

Circa vent’anni fa, all’Ecole des Beaux-Arts di Parigi, ho frequentato un corso di Christian Gaillard, uno psicoanalista junghiano. Una prima parte comprendente un corso di psicoanalisi, e poi la presentazione di un lavoro da parte di uno studente. Gli studenti hanno fornito le loro interpretazioni, poi il giovane artista ha portato la propria lettura della sua creazione, del possibile messaggio. Un’esperienza interessante e arricchente, poiché le varie interpretazioni si sono rivelate molto lontane dalla visione dell’artista, dal contesto della creatività e dalla sua stessa nevrosi.

Interpretare un’opera d’arte surrealista senza conoscere questi diversi parametri è come intraprendere un test proiettivo (Rorschach, Thematic Apperception Test, ecc.). Il nostro inconscio vaga quindi attraverso un labirinto di analisi selvagge.

Questo ha permesso a molti artisti di essere conosciuti in tutto il mondo, “famosi”, esposti nei più grandi musei… senza dimenticare il proprio patrimonio aziendale.

Perché ciò che ci sfugge, ciò che non comprendiamo, ciò che è misterioso, ciò che è nascosto, ci attrae.

È un enigma, ci sentiamo detective, investigatori di ciò che l’artista voleva comunicare, e scopriamo un possibile messaggio da decodificare.

Gli psicologi sono i primi a cadere in interpretazioni totalmente errate.

Ad esempio Jacques Lacan che, nel suo Seminario IX sull’“Identificazione”, allude al film “Il cane andaluso” di Dalì e Buñuel, “che è uno di quei piccoli fatti che a volte mi fanno fare i conti con me stesso – riflettono anche il mio propria immagine come quella di questo personaggio di un noto film surrealista intitolato Il cane andaluso, un’immagine che è quella di un uomo che, con l’aiuto di due corde, ferma dietro di sé un pianoforte su cui poggiano (senza allusioni) due morti asini…”. E allora?

In Francia si è svolto un grande dibattito riguardo al poster ufficiale dei Giochi Olimpici.

Per alcuni, un’opera surrealista, molto interpretativa in tutti i suoi dettagli. Per altri, un’opera non sufficientemente naturale e realistica

In conclusione, l’arte è stata per lungo tempo un mezzo per esprimere sentimenti, idee ed esperienze umane. Tra i diversi movimenti artistici emersi nel corso della storia, il surrealismo si distingue per la sua affascinante esplorazione del subconscio. Il surrealismo ha cercato di sfruttare le profondità nascoste della psiche umana e di sfidare le nozioni convenzionali della realtà.

André Breton: “L’idea del surrealismo tende semplicemente al recupero totale della nostra forza psichica.»

Salvador Dalì: “Il surrealismo sono io!” »

Frida Kahlo: “Il surrealismo è la magica sorpresa di trovare un leone in un armadio, dove eri sicuro di trovare delle magliette. »

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